Conrad entra, une douce aura dorée semblait l'envelopper, elle était chaude et douce, il n'y avait plus aucune trace de l'agression qui avait eu lieu plus tôt. Byako préféra rester a la porte, mais toujours sur ses gardes. Peu à peu la douce et rassurante aura rempli la pièce.
Conrad-Ne pleurez pas... Vous n'étiez pas encore sortie de votre rêve quant vous m'avez attaquer... Je ne vous en veux pas, ce n'est pas votre faute. Et vous n'êtes pas un monstre, mais simplement une jeune femme qui a souffert et qui cherche un peu de lumière dans les ténèbres...